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Plus de 11.000 personnes ont été touchées par le cancer du sein en Belgique en 2021. Ce chiffre est malheureusement incorrect.
Le cancer du sein impacte aussi leurs familles, leurs amis, leurs proches, …
Plus de 11.000 personnes ont été touchées par le cancer du sein en Belgique en 2021. Ce chiffre est malheureusement incorrect.
Le cancer du sein impacte aussi leurs familles, leurs amis, leurs proches, …
Pour que ni le sein, ni le coeur ne souffre.
Pour que ni la perte, ni le manque ne s’installe.
Vous faites partie de la solution,
Vous pouvez faire la différence,
Soutenez la recherche sur le cancer du sein.
Juliette, 45 ans, bruxelloise d’origine congolaise, entrepreneuse et maman d’une petite fille de 5 ans , a eu un cancer du sein de type hormonodépendant de stade 2. Il y a quatre ans, elle a ressenti une boule dans son sein et ses ganglions lui paraissaient gonflés, mais sur le moment elle n’a pas pris ces deux signes au sérieux et a préféré attendre son prochain rendez-vous chez le gynécologue, un mois plus tard. C’est lui qui tirera la sonnette d’alarme et sera à la base de la prise en charge de Juliette par des spécialistes, et de son «sauvetage » grâce aux différents traitements.
Comme Juliette, un certain nombre de femmes sont touchées par le cancer du sein à un jeune âge. Environ 20 % des femmes touchées par le cancer du sein reçoivent le diagnostic alors qu’elles sont encore en âge de procréer (préménopausées).
En effet, à son âge, ce diagnostic tombe comme une sentence dans une vie bien remplie (un projet d’entreprenariat, un enfant, une nouvelle maison...) et a un impact considérable sur elle et son entourage.
Son compagnon est profondément touché lui aussi; très présent tout au long des traitements, il montrera les premiers signes de burn-out un an après la prise en charge de Juliette. Grâce à l’écoute et au soutien de leur médecin généraliste, elle et son compagnon ont pu se reconstruire l’un et l’autre. « C’est un processus qui prend du temps, que ce soit pour le patient ou pour les aidants proches, d’où l’importance d’en parler, d’être soutenu, de sensibiliser (pendant et après la maladie). Personne n’est à l’abri de quoi que ce soit. » Juliette se sent plus engagée que jamais. « Je ne serais peut-être pas là aujourd’hui s’il n’y avait pas eu une personne qui a trouvé ce médicament, qui fait que je suis là aujourd’hui. [ ]... Je pense qu’on a aussi énormément à jouer. Le cancer du sein a un impact, certes, mais chacun d’entre nous peut avoir un impact en soutenant la recherche. »
Avant même que je réalise que c’est un cancer, j’étais branchée à ma première chimio... Je n’étais pas prête, mais est-on jamais prête ?
«I miss you» rappelle pour certains la souffrance du coeur suite à la perte d’un proche, l’incompréhension dans le regard de l’entourage, pour d’autres il s’agira de faire le deuil de sa vie d’avant, ou faire le deuil d’un sein, symbole important de la féminité et de la maternité.
« I miss you » est aussi un message d’espoir.À l’image d’une carte postale que l’on envoie à un ami dans l’attente de le revoir. C’est l’espoir de retrouver bientôt cette nouvelle version de soi, de renaître après les multiples traitements.
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