Par ailleurs, les chercheurs estiment que dans près de 50 % des cas, les modifications génomiques identifiées pourraient fournir aux oncologues des informations supplémentaires pertinentes sur les patients, par exemple sur les individus qui pourraient être pris en considération pour des essais cliniques.
Une deuxième phase (AURORA 2.0) se concentrera sur des sous-types spécifiques de cancer du sein métastatique, à savoir le cancer lobulaire infiltrant, le cancer du sein triple négatif, et ceux qui présentent des récidives tardives, 10 ans ou plus après leur premier diagnostic. BIG considère que ces types de cancer présentent d’importants besoins non satisfaits, pour lesquels AURORA pourra avoir un impact clinique et scientifique de taille.